Quand la savane hue ton nom, et que tu réponds : « Je voudrais déjà être roi ♫ »

I. LE PERSONNAGE.

• NOM : AUDITORE
• PRÉNOMS : Azan, Ian
• SURNOM : Le Traître
• ÂGE : 21 années d'humains
• FACTION : L'alliance des mages
• TITRE : Huitième siège des Mages saints
• MAGIE/ARMES : Je sais pas encore (à mon avis, ça aura un lien avec son apparence XD)
• STATUT MARITAL : Célibataire
• ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel (polygamie /dead)
• AVATAR :

II. LES DESCRIPTIONS.

Cette version, cette forme, entre animal et humain. Cette sauvagerie en un regard, qui complait la recherche d’un fantasme masculin. Cette peau basanée, sous un soleil de plombs, c’est un lion, le, roi, dans toute sa splendeur. Sous cette forme titanesque, sous sa prestance animale, c’est une bête féroce, qui ne laisse aucun répit. Ca crinière vole au vent, tangue entre deux mouvements. Semblant s’embraser sous cette couleur rousse, elle s’étend en disgrâce, avec froideur sur son dos, ses épaules ou son torse.


Ces touffes de poils, ces membres musclés, ces bouts de peau ayant été tailladés par des années dans un monde sauvage… Ce corps infernal, cette beauté magnifique, cette idylle vengeresse qui passe devant nous, faisant ressortir un trop plein de jalousie et d’envie, avec un dégoût martelé. Cette queue se baladant, ces abdos se dévoilant, dans cette tenue tribale, en métal, agrémentée de farouches décorations. C’est splendide, c’est hideux, c’est ragoutant comme adorable, ce guerrier nous montrant son rejet des mœurs locales…


Sous la lumière de ces astres, aussi froids que chauds, aussi beau que flamboyant dans le ciel, se dressent ce corps qui en fera saigner des centaines d’autres. Cet aspect sauvage, décrit par une lumière de milliers de bougies, dressées dans le ciel, dans le néant s’étendant, dans l’espace, n’est finalement qu’un amalgame d’instincts… Il est un animal, un véritable carnassier, un sage parmi tant d’autres, néanmoins.


Pour qu’un gros chat, pour qu’un félin, à l’aspect plus véritable chaleureux que terrifiant, se dresse sur ses deux pattes postérieures, arrosant nos yeux de ses belles gambettes, et nous tendent ses pattes griffues pour nous aider à nous relever, ou nous empêcher de nous réveiller. La fougue, l’essence même de la savane brille sous les étoiles, sous cette apparence humanoïde.


L’Amour, la Flamme, la chaleur et la sensualité, ces corps étrangers, réunis en un seul. Azan est une majestueuse passion qui s’écoule de son être, du bout de ses bras, à celui de sa queue, une vibrante folie qui assiège votre cœur, votre âme en plongeant vox yeux dans ce méandre enflammé… Azan est ce lion qui vous fera sentir roi, cet être sauvage… qui vous fera briller sous les étoiles de la voute céleste.

Joyeux, emplie de bonnes intentions, gai, heureux… Malgré le drame qui s’abattait au dehors des murs de ta maison, toi, Azan, tu as toujours su… pardon… Tu avais toujours su garder le positif, en refusant le pessimisme. Tu étais né avec un don particulier, un don aussi beau qu’effrayant, aussi nouveau que catastrophique… Ton visage était celui d’un sauvage, même enfant, et le bout de tes fesses continuait en une longue queue. Tu étais né en tant que félin, car la magie avait été trop bonne avec toi… Si gentille qu’elle n’avais pas su s’arrêter de s’écouler, et s’était déréglée. Et pourtant, malgré ton apparence peu commune, tu avais toujours gardé le sourire. Et tu t’étais même émerveillé. A chaque nouveauté, à chaque trésor de la nature, une partie de toi ne savait plus où se mettre : tu étais trop enthousiaste…


C’était le chant de la nature et des arbres, c’était celui du ruisseau qui, non loin, s’écoulait dans tes pensées. Perdu entre elles, tu ne savais démêler le vrai du faux, et parfois tu entendais un bruit qui ne venait que de ta tête pensive, rêveuse, affectueuse. Quand un oiseau chantait, tu l’entendais des heures durant, même après que celui ci soit tombé de son arbre. Dans le monde que tu t’étais créé dans ta tête, tout était beau, et alors que les gens s’éloignaient instinctivement de toi, tu voyais un monde en effervescence… Heureusement pour toi, ce ne fut pas, ce jour là, le cas d’Ethel.


Ce ne fut le cas que pendant ton enfance. Mais aujourd’hui, peut on toujours le dire ? Tu es un mage saint, le huitième, le grand mage… le sauvage, la bête féroce, qui dévore peu à peu le Mal de cette terre. Les soucis sont ton quotidien, mais ta philosophie, pour garder un semblant d’optimisme, des miasmes de ta vie passé, se résume à ces quelques mots : Hakuna Matata. Tu as choisi de ne pas te retourner, tu as choisi d’écarter les ennuis. Tu n’es pas sans soucis, mais ton aura démontre aux personnes qui te fréquentent que tu pourrais très bien avoir une dent contre eux, que tu pourrais très bien inverser la tendance. Aussi ne te fais tu jamais de réel soucis, pouvant en provoquer de plus grands.


Cela remonte au jour où bouleversé et passif, tu assistas à la capture de tes parents. Ethel avait été là à temps, tu n’avais pas subi le même sort, mais c’est à partir de ce moment là, que tu t’es accroché à tout ce que tu avais. Et comme un vieux dessin animé te l’avait appris quand tu étais petit, tu récitas ta philosophie, pour te calmer. C’était bête, ce n’était rien de plus que deux mots sans aucun sens, mais tu relevas la tête, et affrontas le futur… Aujourd’hui encore, tu te permets de penser à ces deux simples mots, pour te redonner le sourire, même en de temps troublés. Tu es celui qui à chaque moment de sa vie, pourra sourire…


Sans peur. Toujours émerveillé, ou curieux, le sursaut ne fait pas partie de tes qualités premières. Né pour régner sur le monde animal, dans ton corps aux aspects de lion, élevé avec une philosophie devenue pensée de vie, tu ne sais pas perdre ton calme, c’est frustrant, de te regarder dans les yeux. Mais personne d’encore en état de marcher ne peut attester que ta véritable colère est passive. Si un de ces jours tu en éprouves le besoin, alors tes griffes s’abattront comme le marteau de la justice.
N’oublions jamais. Tu es un lion, pas un tigre. Tu règnes, tu imposes le respect, et ne cherche pas l’anarchie. Tu es sans doute l’un des plus dangereux ennemis à avoir, non pour cette puissance, ni cette sauvagerie, mais pour ton calme glacial dont tu sais faire preuve…


Ce sont les douces paroles de la brise du matin, les dernières paroles que tu as entendu d’elle, de ta sœur adoptive, de ton amie d’enfance, qui hantent tes pensées. Tu ne sais plus ce qu’elles veulent dire, tu ne te souviens que de les avoir entendues, et cela, même ta formule magique ne peut y remédier. Planquées dans un coin inaccessible de ton cœur, ces mots resteront à jamais une croix que tu porteras. Puisse Ethel reposer en paix !

III. L'HISTOIRE.

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IV. DERRIÈRE L'ECRAN.